Département de l’Ariège, Arrondissement de Foix, Canton de Vicdessos


Altitude : 720 / 3140 m

Longitude : 1° 28’ 50’’ E

Latitude : 42° 45’ 59’’ N

(Carte: Conseil Général de l’Ariège)

Démographie

– Approches historiques

              – AUZAT

              – Olbier

              – Saleix

             – Péchiney

Patrimoine

Personnalités

Pour en savoir plus…

Surface : 16274 ha (La plus étendue des communes de l’Ariège)

Démographie de Auzat de 1806 à 1962:

1806 : 1867

1851 : 1693

1856 : 1643

1901 : 1117

1921 :   997

1946 : 1386

1962 : 1030

Démographie de Saleix de 1806 à 1962 :

1806 : 444

1851 : 489

1856 : 423

1901 : 216

1921 : 165

1946 :   70

1962 :   32

Démographie de Auzat + Olbier et Saleix :

1968 : 949

1982 : 847

1999 : 666

2006: 593

Auzat est augmenté de Saleix par arrêté préfectoral du 14 décembre 1964 ; et de Olbier (partie de la commune de Goulier-Olbier) par arrêté préfectoral du 2 avril 1965

Nom des habitants : Auzatois et Auzatoises

 

Approches historiques :

Les fouilles du château de Montréal de Sos (à 980 m d’altitude), sous l’autorité de Florence Guillot, ainsi qu’avec l’aide de Nicolas Portet, semblent montrer que le site fut occupé du temps des Romains (dès le 1er siècle avant J.C.) : un oppidum y aurait été installé, des poteries y sont mises à jour en 2003.

 Fouilles 2004

Cependant le premier texte concernant le château ne date que du début du 13ème siècle comme dépendant des comtes de Foix (avec donjon, bâtiments et mur d’enceinte renforcé par des tours). Un village se trouvait autour de cette forteresse avant d’être abandonné pour se déplacer plus bas.

Le résultat des dernières fouilles, en cours d’étude, permettra de connaître ce que les textes ne nous disent pas… Donc, ne nous aventurons pas, et attendons…, car son évolution dans le temps est très complexe.

 Fouilles de 2005  (2009)

Juin et juillet 2006: Les fouilles ont, encore, apporté de nouveaux objets et de nouvelles connaissances… Reste à étudier tout cela dans les mois à venir… Florence Guillot ne manquera pas d’en faire un rapport à l’adresse Internet mentionnée ci-dessus…

Cependant, nous pouvons dire qu’il fut possession successive des comtes de Foix, du roi d’Aragon et au roi de France Philippe le Hardi (1283) avant d’être restitué au comte de Foix. L’on sait qu’il n’a jamais été attaqué depuis que l’on le connaît par les textes. Mais, il sera abandonné dès le 14ème siècle (et ses pierres auraient servi à construire le village d’Olbier qui se trouve à son pied).

 

AUZAT 

 

Hors l’histoire du château de Montréal de Sos, les premières mentions concernant l’actuelle commune d’Auzat concerne le lieu d’Onat dès le XIème siècle dans le cartulaire de l’abbaye Saint-Sernin de Toulouse avec diverses donations.

Mentionné en 1242 dans les possessions de St Sernin et dépendant du prieuré de Vicdessos, Auzat (« Ausat »), en 1390, comprenait 25 feux.

Dans ce dénombrement, il y est fait mention d’une des 11 forges du Pays de Foix (« la molina de mastre Ramon Casas », lequel avait, aussi, une forge dans la localité d’Hornac (près d’Artiès), détruit par une avalanche). Les habitants sont vassaux du seigneur de Rabat (Corbeyran), de Ramon de Miglos, du seigneur d’Arnave (Bozia de Roquefort), de Guilhem Ysarn, de la madona Sebelia (d’Ustou)

En 1294, Auzat et Onat font partie de la châtellenie de Quié (près de Tarascon)

1332 : donation à Loup de Foix après destruction du château (par le roi d’Aragon ?)

Dépendait de la châtellenie de Vicdessos en 1450

Ch. Bourret et Chevalier : « En 1741, les habitants d’Auzat allaient chercher de l’huile en Espagne qu’ils revendaient ensuite dans tout le comté de Foix. Les mineurs de Rancié n’utilisaient pour leurs lampes que de l’huile d’olive, la seule à ne pas donner de fumée ». De même, il est relaté que Chausenque , en 1834, mentionne « qu’après la culture des champs, la contrebande y est la principale industrie »            

Pays du fer et donc du charbonnage, Auzat et sa contrée seront de la « guerre des Demoiselles »

Nombreux martinets (travaillant pour Bordeaux et Toulouse)

En 1896 : Auzat comprend 273 maisons pour 278 ménages et 1064 habitants

Hameaux et métairies composant la commune en 1909 : Artiès, Balens, Bénasc, Ranet, Lacroux, Farrié, Ensem, Cadaibré, Ourré d’en Bas, Ourré d’en haut, Lasujou, Mounicou, Rouzaoudis, les Laouzes, Carafa, Marc, Las Escalles, La Tute, Cibel, Toutous, Navailles, Rémoul, Emperrot, Lartigue, Lagréou, Lacoste ; le tout est desservi par  5 instituteurs

Mines de cuivres de Ranet (1909)

La construction de l’usine hydroélectrique d’Auzat à partir de 1906 (achevée en 1909), entraîne la réalisation de la voie ferrée Tarascon-Auzat, inaugurée le 13 août 1911 (fermée le 7 octobre 1932). « Les eaux de plusieurs grands lacs ont y été captées et une force de plus de 20 000 chevaux, produite par une chute de 500 mètres, va servir à actionner de puissantes machines et fours électriques pour la fabrication de divers produits chimiques et métallurgiques ». Péchiney rachète le site en 1914 (Aluminium)

(Collection Gérard Lafuente)

Cependant, l’annonce de la fermeture de l’usine le 29 janvier 2003 (214 employés, plus une soixantaine d’intérimaires) annonce une nouvelle ère pour Auzat et sa région….

Mise en service de la centrale du Soulcem en 1980

Péchiney, parti, reste la Société des eaux du Moncalm depuis 1990 (exploitation des sources de La Prime, près d’Artès)

Divers :

Exploitations de carrières :

–         à ciel ouvert, à l’Izourt, par la Société Hydroélectrique des Pyrénées (S.H.E.P.), 1939

–         souterraine, entre Marc et Bassiès, par la Société Alais, Froges et Camargue, 1941

Aménagement de la chute de Pradières par la Société des Forces Motrices de Vicdessos, 1937

Agrandissement de la centrale hydroélectrique d’Auzat par la SHEP : 1945

Tramway à vapeur de Tarascon à Auzat:

Longueur de la ligne: 17 km

Stations desservies : Tarascon, Capoulet, Laramade, Vicdessos et Auzat

A cessé d’être exploité à partir du 7 octobre 1932.

   (Collection Gérard Lafuente)

(« L’Ariège d’avant guerre » d’Adelin Moulis):

« Lorsque le projet de cette ligne avait été étudié, à l’origine, le tramway avait pris le nom de « Tramway de Saurat à Auzat », car on avait prévu son prolongement jusqu’à Saurat pour desservir cette dernière localité en passant par Arignac et Bédeilhac. On arrêta cependant la ligna à Tarascon, après des discussions mouvementées au sein du Conseil Général.

L’exploitation en commença le 14 août 1911. La ligne avait été concédée par l’État au département et ce dernier la rétrocéda à une compagnie qui s’intitula : « Compagnie du Tramway de Tarascon sur Ariège à Auzat ». Cette dernière la céda à son tour à la « Société des produits électrochimiques et métallurgiques des Pyrénées » dont l’usine se trouve à Auzat. »

 

Olbier 

   (Collection Gérard Lafuente)

Maintenant réuni à Auzat, Olbier était l’un des 3 villages autorisés à exploiter le Rancié ; Bâti au pied des vestiges du château de Montréal de Sos sur une butte qui renferme des grottes originales (Grottes de les Femnas ; del Campanal ; dels Omes et… celle avec des peintures « mystiques » …).

 

                   

 

Selon la tradition orale, une galerie souterraine actuellement comblée conduisait du château à la rivière.

 

Saleix

(étymologie : sel : transport du sel en provenance de Saliès du Salat par le port de Saleix) ; situé au-dessus d’Auzat, avec ses quatre fontaines et une seule aiguille à l’horloge de l’église st Jacques…

En 1390, « Saleys » comportait 25 feux  et avait l’un des 59 moulins du Comté de Foix (sur le ruisseau dit la Mole de Saleix, en 1577). Les habitants étaient alors vassaux de Pons de Villemur (seigneur de Saint-Paul de Jarrat), du seigneur d’Arignac, de Guilhem Ysarn, du seigneur de Rabat (Corbeyran)

Ressortissait de la châtellenie de Vicdessos en 1450

Nicolas Melchior de Roquemaurel, seigneur de Saleix, né le 28 novembre 1720 ; puis son fils, J. Louis, né le 3 octobre 1753 (garde du corps de Louis XV)

En 1896, Saleix comportait 89 maisons pour 79 ménages et 251 habitants

1965 : Saleix est rattaché à Auzat

Patrimoine de Saleix :

Fontaines de Las Amos, de Laserre, de Matche, de l’église ; lavoir couvert ;

Eglise saint Jacques, attestée au XIIème siècle (horloge à une seule aiguille, achetée en 1784) : retable du 18ème en bois peint ; chaire du 18ème ; bénitier en granit du 17ème ; Plafond peint ; mais surtout 2 tribunes du 17ème superposées avec escaliers d’accès intérieurs

Péchiney :

 

               (En octobre 2009)

Quelques dates : (Sources : La Croix  du mardi 16 décembre 2003)

1860 : l’entrepreneur Henry Merle développe une usine d’aluminium à Salindres (Gard)

1877 : Alfred Rangod, dit Pechiney (patronyme de son beau-père), devient le directeur de l’usine. Le site sera le seul au monde pendant trente ans à produire de l’aluminium.

1950 : Pechiney accélère son développement international, notamment en Afrique et aux Etats Unis.

1971 : Fusion de Pechiney et Ugine Kulman. L’ensemble devient le premier groupe industriel français, à capitaux privés, en termes de chiffre d’affaires.

1982 : Nationalisation de Pechiney.

1988 : Acquisition d’Américan National Can. Pechiney devient le numéro un mondial de l’emballage.

1995 : Privatisation de Pechiney.

2000 : La commission européenne refuse la fusion avec Alcan et Algroup.

2003 : Alcan lance une offre publique d’achat (OPA) sur Pechiney.

 La commune se trouve dans le périmètre du Parc Naturel Régional des Pyrénées Ariégeoises


Patrimoine 

Ruines du château de Montréal, à 2 km d’Auzat (près du hameau d’Olbier) (voir dans l’approche historique)

Les grottes de Monréal de Sos : voir ci-dessus à Olbier ;

Cependant, l’une d’elle renfermant des peintures symboliques connut un certain succès… !

Le 9 juillet 1932 dans un article dans la Dépêche de Toulouse, Alex Coutet y annonce « une peinture mystique du treizième siècle, tracée sur la roche d’une caverne ». Précisions par Joseph Mandement le 21 novembre suivant confortant cette idée… Puis en juillet 1933, Déodat Roché y va et écrit dans « Etudes manichéennes et cathares » en 1952 : « j’en décris l’ensemble comme une image de la légende méridionale du Graal »

1935 : Maurice Magre dans « La clef des Choses Cachées » : « Si le Graal était à Montségur, que devint-il après la chute du château ? …J. Mandement a émis l’hypothèse qu’il aurait pu être transporté dans le château de Montréal qui a appartenu aux Hospitaliers »

Dès lors, les supputations les plus farfelues virent le jour sur l’origine et la signification de ces vestiges…

Donnons, alors, l’avis de Raimonde Reznikov dans « Cathares et Templiers » : (La peinture) « évoquerait plutôt le symbolisme des croix de la passion, avec la couronne d’épines, le porte-éponge et le « signaculum domini », c’est à dire les cinq gouttes de sang rappelant les cinq plaies du Christ »

Artiès : 985 m d’alt. : Etang d’Izourt ; centrale électrique des Pradières

Vestiges de fortifications de Saleix

Chapelle Saint Vincent d’Onos, entre Auzat et Vicdessos (statue fin 15éme), sur l’emplacement primitif de la communauté d’Auzat (appelée, aussi, « la Glèiso Bièlho »)

Pla de l’Isard

Lac Fourcat (SI) ; Pic de Montcalm (3080m) : sommet des Pyrénées ariégeoises

Usine hydroélectrique

Chapelle St Antoine du Montcalm (à Marc) : construite en 1896-1897 sur l’instigation d’un berger : Jean Dandine Rolland

Vallée d’Artigue ; cascades de l’Artigue

L’église d’Olbier 

Les trois barrages : le Soulcem (29 millions de m3) ; le Gnioure (28 millions de m3) ; l’Izourt (8 millions de m3)

Les Orris :

Du Carla (Soulcem) : la charte de 1292, octroyée par les comtes de Foix, accordait des privilèges dont des droits d’orriage et de pâturages

Plus de 150 orris dans le Vicdessos, utilisés jusqu’en 1940 ; ceux du Carla : jusqu’en 1968

Orris de Carla, etc… Orrys : petites bâtisses en pierres sèches, disséminés ou regroupés : orri d’habitation, le mazuc (cave à fromage), la marga (couloir à traite), le parec (l’enclos)… (voir dans histariège.com rubrique Thèmes, dans Agriculture, pages consacrées aux Orris)

Orris (avec un « i » et non un « y » ! (J. Besset) 

Carrières d’ardoises

Mines de zinc et de cuivre (non exploitées)

Les barrages :

Barrage du Soulcem : 66 m de haut, réserve de 29 millions de m3

Barrage de le Gnioure : 72 m de haut, 28 millions de m3

Barrage de l’Izourt : 42 m de haut, 8 millions de m3

 Refuges: de Bassiès, du Fourcat, du Pinet

A Saleix : ruines d’un château. Sources ferrugineuses. Grotte dite de Gleysette

Pic de Montcalm (3080m) et la Pique d’Estat (3141 m), etc… 

Les refuges :

–         des Bassiès (1650 m) : sur le GR10, entre Aulus-les-Bains et Marc ; au pied du pic de Cabanatous, à côté des étangs de Bassiès ; face au cirque granitique de la Pique Rouge (49 couchages)

–         du Pinet (2240 m) : au bord de l’étang du Pinet, au cœur du massif du Montcalm (3077m) ; 55 couchages

–         du Fourcat (2445 m) : le plus haut refuge ariégeois ; dans le cirque des étangs Fourcat, couonné par de nombreux pics sur la HRP, le GR 10 et le tour transfrontalier du Montcalm ; 45 lits

  Le village de Marc   

(Collection Gérard Lafuente)


Personnalités

– Aimé J.B. Molinié, né le 25 mai 1908 à Auzat : grande figure du PC (sénateur et politique rebelle) ; résistant dès 1940 ; condamné à mort par contumace ; Résistant dans la région de Montpellier, en Isère, dans les Bouches du Rhône, et enfin et surtout, dans la région de Limoges sous le pseudonyme d’Eugène.

Sculpteur à la fin de sa vie, il meurt le 18 novembre 2001 à Foix.

– Barrère-Cassagnet Marcel: Né le 11 mai 1907 à Auzat; diplômé de la faculté de médecine de Paris en 1934; médecin installé à Vicdessos; conseiller général du canton de Vicdessos avant-guerre.

Il était de ceux avec Mathilde Mir, Alexandre Denjean, Gaston Jauze et leur groupe de passeurs montagnards dévoués, qui ont déjoué toutes les embûches, mené leur mission à son terme, et n’ont jamais plié devant l’occupant. Comme en beaucoup d’endroits sur le territoire, organisé en réseau, entouré de membres de professions libérales, le docteur Barrère-Cassagnet, dont la consultation médicale était une couverture facile pour les rendez-vous, est arrêté par la Gestapo sur dénonciation le 29 octobre 1943.

Déporté le 27 janvier 1944 de Compiègne vers le camp de Buchenwald, il y mourra le 25 mai 1944 (Notice rédigée par Émile Cassé)

– Alexandre Denjean: Né le 2 avril 1898. Engagé volontaire en 1916 dans les crapouillots en 1ère ligne. Maire d’Auzat de 1934 à 1977. Conseiller d’arrondissement en 1931. Responsable local du mouvement résistant »Combat »; a reçu les Honneurs de la reine mère d’Angleterre et chefs de l’armée anglaise. Son autorité auprès de la population, sa forte personnalité, devaient faciliter l’organisation de la résistance dans ce haut canton qui était considéré par les Alliés et l’Angleterre en particuliers, comme l’un des points d’évasion de leurs pilotes et officiers, le plus sûr, le plus efficace de France. Le domicile d’Alexandre Denjean était devenu l’un des centres d’hébergements les plus importants de France. (Notice rédigée par Émile Cassé)

– Mathilde Mir (1896-1958) : directrice de l’école normale d’Angoulême, résistante charentaise, auteur de « Quand la terre se soulève », etc…




Pour en savoir plus…:

Bibliographie:

« La vallée de Sos à la fin du Moyen Age », Fl. Guillot dans « Archives ariégeoises » de 2011 (Amis des Archives de l’Ariège)

« Orris d’Ariège », J. Besset, 1995

« L’église d’Auzat », de Lahondes, Sem. Du dioc. De Pamiers,8 déc. 1883

« Tarascon et son canton : d’un siècle à l’autre », Roger Latour, 2002

« De Tarascon à Vicdessos : d’un siècle à l’autre », Roger Latour, 2004

« Monographies villageoises en Sabarthès », Fl. Guillot, Lacour, 1999

« L’Ariège et ses châteaux féodaux », A. Moulis

« Cathares et Templiers », Raimonde Reznikov

Sur la « houille blanche » : projet de réservoir au dessus de Marc et l’usine d’Auzat « chance pour la Vallée » : La Croix de l’Ariège du 17 juin 1906

Vidal J.M. : « Invasion d’une troupe d’espagnols dans la vallée d’Auzat en 1810 », Sem. Catho. Du Dioc. De Pamiers, 1899

J. Dengerma : « Le castel de Montréal de Sos », 1963

Archives:

 Mine de plomb (1865) et de cuivre (1862) à Auzat (voir à Vicdessos : ADA, 145 EDT, O 10)

Projet de liaison routière France-Andorre par la vallée de Vicdessos (1980-1987) : ADA, 195 W 192 ; route d’accès au tunnel du port du Rat (1985) : ADA, 294 PR 10

Chantiers des barrages du haut Vicdessos : Gnioure, Izourt, Bassiès, Pradières, Soulcem. 1899-1939 : ADA, 7 S 930, 957-962, 1627-1633

Lies et passeries entre les vallées de Vicdessos et de Valferrer. 1744 : ADA, 1 J 498

Cartulaire de la vallée de Vicdessos, dont lies et passeries depuis 1293 et relations avec le Valferrer et l’Andorre, 13ème- XVIIIèmes siècle: ADA, 1 C 163

Privilèges de la vallée de Vicdessos, dont lies et passeries (1304-1670): ADHG, 8 B 127

Organisation d’aides aux réfugiés carlistes en France et aux opérations militaires en Espagne, passage des réfugiés carlistes par les vallées de l’Ariège et du Vicdesssos. 1835-1844 : 9 J 1-27

Projet de route France-Andorre par la vallée de Vicdessos (1963-1976): ADA, 325 W 232-233

Voie muletière d’Auzat en Andorre (1863-1866): ADA, 2 N 4-30

Dossiers d’administration communale d’Auzat (An X- 1942): ADA, 2 O 177-185

Chantiers des chutes de Pardières, Auzat et Bassiès. 1930-1945 : ADA, S 302, 304 et 13 W 37-38

Avalanche d’Auzat (chantier), 1939 : 7 M 17

Visite de l’église Ste Anne et St Vincent du 26 juin 1696 (ADA, G 59)

Visite de l’église paroissiale St Jacques de Saleix : ADA, G 58

Visite du 4 novembre 1661 : ADA, G 58

Visite du 26 juin 1696 : ADA, G 59

État des biens de la fabrique de Saleix (s.d.) : ADA, G 235 (49)

Plans divers et dossiers aux ADA : 2 O 177 à 187 (écoles, réparations à l’église de 1862 et 1890 ; eau…)

 

Registre de catholicité le plus ancien de Auzat: 1660

Registre de catholicité le plus ancien de Olbier: 1659

Registre  de catholicité le plus ancien de Saleix : 1638

 

(Étude : J.J.Pétris; Merci pour sa participation à Gérard Lafuente)