Département de l’Ariège, Arrondissement de Pamiers ; Canton de Mirepoix

Altitude : 255 / 390 m

Longitude : 1° 45’ 38’’ E

Latitude : 43° 05’ 45’’ N

(Carte: Conseil Général de l’Ariège)

 

Démographie

Approches historiques

Patrimoine

Ancienne priorale ND (Cl. Aliquot)

Les Fresques (Cl. Aliquot)

Compléments de Martine Rouche

Renseignements divers

Pour en savoir plus…

Surface : 413 ha

Démographie :

1806 : 153

1851 : 168

1856 : 150

1901 : 125

1921 : 99

1946 : 73

1968 : 54

1982 : 45

1999 : 67


Approches historiques :

Les archéologues contemporains pensent qu’un culte très ancien (environ 2000 ans avant J.C.) existait à Vals (faille du rocher) tout en reconnaissant qu’il existe beaucoup d’hypothèses archéologiques.

Sans l’abbé J.M. Durand, arrivé comme curé de Rieucros et desservant de Vals (en Ariège), le site de Vals n’aurait pas la notoriété qui lui est acquise… : il voulait dégager le Roc Taillat et découvre des murs… : il pensait, d’abord, à un site de sépulture de l’âge du fer : mais en fait, il s’agissait de vestiges de la protohistoire

Il semble qu’un village existait, déjà vers 800 avant J.C. Les fouilles ont révélé un site très structuré avec fossé (ont été retrouvés des bois calcinés du 9, 10èmes avant J.C.) ; puis gallo-romain en contrebas. Les fouilles ont démontré qu’il y avait (très tôt) un échange avec la Méditerranée

Une zone sépulcrale (parfois sur plusieurs niveaux) a été mise à jour. Peut-être une nécropole mérovingienne à Vals ? Des fouilles s’avèrent indispensables pour accréditer cette hypothèse…

En 943, le village de Vals avait pour nom « Valle Pedetario ». Cette dénomination devient en 959 « Valde Petaria » (J.M. Durand d’après Gallia Christiana) « En cette moitié du Xème siècle, la puissante abbaye bénédictine de Lagrasse acquit des biens du monastère de Camon, bénédictin lui aussi, tant à Vals, qu’à Teilhet, Mazerettes… » (J.M. Durand). Mais, F. Baby, « Vals et l’abbaye de Camon », dans le Bul. De l’Asso des Amis de Vals (mars 1980) remet en cause l’appartenance de Vals à Lagrasse, en 943 (ce qui était admis…)

En 1104, l’église devint prieuré sous la dépendance de Saint Volusien de Foix et le restera…

Si l’église comporte une base carolingienne, restructurée au 11ème (partie où il y a les peintures murales), le village s’est développé du 11ème au 13ème  (des seigneurs à Vals sont présents au 12ème) ; reprise au 14ème avec construction d’une place forte et des fossés. L’habitat autour de l’église disparaît au 16ème

  (Photo: Laurent Crassous)

NB : La commune de Vals faisait partie de l’arrondissement de Pamiers en 1801 ; puis passe à celui de Foix en 1926 ; enfin dans celui de Pamiers en 1942


Patrimoine :

L’église « rupestre » dédiée à ND (monument unique), à trois niveaux : (12ème) classée le 19/11/1910 ; et croix scellée sur le mur du belvédère extérieur (11,12èmes), classé aux M.H., le 02/03/1959

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Ancienne priorale Notre-Dame:
« Dédiée également à saint Loup, l’église de Vals est une des plus curieuses des Pyrénées parce qu’elle a été construite dans un immense bloc de poudingue en utilisant comme accès une faille naturelle de la roche. Son origine est ancienne, contemporaine des diverses abbayes de Foix, de Pamiers ou de Camon qui furent fondées au VIII° siècle et dont certaines furent rattachées à la grande abbaye de Lagrasse comme, précisément, Vals le fut.

La première église a pu être construite par les Bénédictins qui l’installèrent dans ce rocher, en lui donnant une architecture que le sol a rendu compliquée, pour remplacer un site religieux antérieur qu’il convenait de christianiser.

Nous pouvons déterminer ainsi une première nef et une abside rupestres du X° siècle ouvertes au sein du rocher qui en forme les parois. Des maçonneries ont dessiné de petites cha­pelles latérales très archaïques. L’abside basse et carrée a été remaniée, au début du XII° siècle quand les desser­vants de vingt-deux paroisses s’établirent, en 1104, en chanoines réguliers de Saint Volusien à Foix et agran­dirent le prieuré de Vals. L’abside fut alors surélevée, ouverte par un grand arc triomphal en plein cintre sur la nef supérieure et pour accroître la place pour des cérémonies plus solennelles les moines construisirent une autre nef romane perpendiculaire à la première, formée d’un chœur et d’une abside ronde mais située au troisième étage au-dessus de la nef primitive. Cette nouvelle nef prend vue sur l’ancienne par un grand arc roman et elle se complétait d’un clocher en forme de tour qui n’est qu’une élévation de l’abside. Ce clocher exhaussé, après le XIII° siècle, en tour de guette s’est vu accoler une tour carrée et crénelée de type militaire. Un incendie, sur la fin du XVI° siècle, entraîna une réparation sommaire de la grande nef qui a été encore surélevée au XIX°, ce qui a permis de dégager le grand arc de l’église de la tour.

L’église est ainsi composée d’une nef basse voûtée en plein cintre et en maçonnerie de gros appareil terminée par une abside surélevée, à chevet plat, couverte en berceau sur arcs doubleaux.  Le rocher forme les murs du chœur mais les contreforts réunis par des arcades rondes, déformées parfois, montrent une maçonnerie du X° siècle reprise au XII°. Les bandeaux retombent sur les parements sans moulures. Tout l’ensemble de cette abside, y compris les bandeaux et leurs flancs étaient recouverts de fresques du XII° siècle.

Des escaliers assurent l’accès à la nef supérieure, ou grande nef, couverte au XIX° siècle d’une voûte en plâtre. Au fond, s’alignent les arcs supportant la chapelle haute, vouée comme d’habitude à Saint Michel.  Deux arcs, l’un en plein cintre, l’autre en anse de panier et un troisième petit arc à claveaux de briques soutiennent un balcon sur lequel se dresse le grand arc roman par où la chapelle a vue sur la nef inférieure. Cette chapelle Saint Michel, voûtée en cul-de-four, a deux fenêtres étroites : l’une à double ébrasement, l’autre à meurtrière. Un bandeau, au-dessus de l’arc de l’entrée du chœur, est orné de billettes. La maçonnerie de grès, bien appareillée au XII° siècle, a été surélevée en tour demi-ronde au XIII°, puis au XIV°. Une tour carrée à créneaux a été juxtaposée à ce clocher et lui confère un aspect féodal ».
( Claude Aliquot, Conservateur de l’Ariège)

L’abbé J.M. Durand, découvreur des fresques en 1954 et archéologue de Vals

 

LES FRESQUES

« Ornant l’intrados de l’abside, elles sont d’une qualité exceptionnelle et entrent dans le groupe des fresques romanes catalanes qui ont été identifiées par Marcel DURLIAT et AINAUD de LASARTE comme étant l’œuvre d’artistes de l’atelier du Maître de Pedret. A Vals ce fresquiste a atteint sa maîtrise, tant du point de vue du dessin que des thèmes iconographiques dans ce hiératisme byzantin impersonnel si riche de spiritualité.

Les fresques montrent, du nord au sud, trois aspects de la vie de Jésus : sa venue dans le monde, la période évangélique et sa gloire éternelle. Chaque phase occupe une travée entre les bandeaux. La première travée, à partir du chevet, présente une Annonciation à l’ouest et, à l’est, le bain de l’Enfant Jésus aux mains des femmes dans une cuve pédiculée tandis que Marie est couchée sous un drap somptueux. Dans la travée suivante se distinguent huit personnages à la voûte et huit autres sur les arcs. Parmi ceux de la voûte Saint Pierre et Saint André s’identifient aisément grâce aux clefs et à la croix traditionnelle. En face Saint Philippe et Saint Barthélemy. Dans la dernière travée, la plus grande, près de l’arc triomphal, le Christ en majesté dans une mandorle rouge, la main bénissante, entouré des quatre personnes vivantes de la vision de Jean pourvues de leurs ailes. Sous chaque tétramorphe se trouve un ange, puis Saint Michel et un autre archange proche du trône de Dieu ; archanges avocats, ainsi que le précise le rouleau de parchemin de la petitio ou postulatio qu’ils tiennent en main selon un symbole familier au maître catalan. Ces archanges encadrent un chérubin à six ailes marquées de sept yeux, autre thème apocalyptique.

La fidélité de la figuration de la vision apocalyptique de Jean est telle que la surprise est de ne point trouver l’Épiphanie qui l’accompagne dans les scènes romanes. La fresque des mages se trouvait bien sur le mur plat de l’abside, elle a été détruite lorsque a été percée, au XVI° siècle, une fenêtre ogivale d’assez fâcheux effet en ce lieu. La Vierge absidiale y présidait dans sa majesté ; il est possible d’en deviner le visage et la coiffure. La tête du mage Balthazar est couverte d’un bonnet, c’est généralement ainsi que les peintres catalans représentaient les mages.

Ce bel ensemble de fresques romanes, associé aux fresques du même atelier figurées à Saint Lizier constitue le plus authentique chef-d’œuvre de la peinture murale du début du XII° siècle du versant nord des Pyrénées qu’il ne faut d’ailleurs pas séparer des œuvres de Catalogne ».

(Cl. Aliquot, conservateur des Antiquités et Objets d’Art de l’Ariège, Docteur en Histoire)

NB: Après des années d’effort de la municipalité, des Amis de Vals, de la Communauté de Communes de la Moyenne Vallée de l’Hers et de la DRAC, la restauration des peintures murales de Vals est réalisée

 

Compléments de Martine Rouche:

       

« Le premier art roman méridional venu de Catalogne se propagea, de même que les techniques de maçonnerie et de peinture, le long des voies de pèlerinage. Installée au coeur d’un double bloc de poudingue de Palassou, l’église semi-rupestre de Vals accueille ses visiteurs par une entrée mystérieuse, dans une diaclase ascendante.        Raymond Escholier écrit dans son livre sur les Pyrénées que la première à pénétrer dans cet étroit passage fut la Vierge Marie, et que les anfractuosités de la roche sont les traces de ses coudes et de ses épaules…

       

La première nef, de style lombard, révèle des moellons éclatés, grossièrement tillés, et des arcatures aveugles à faible relief, avec un berceau de dalles de grès posées sur champ. Près de la chapelle baptismale, une dalle funéraire rappelle aux visiteurs la mémoire de l’abbé Julien Durand, prêtre mais aussi préhistorien et archéologue, qui, le premier, pressentit le caractère unique du site de Vals. C’est lui qui, perçant dans l’enduit de l’abside une cloque due à l’humidité, eut a surprise de découvrir en dessous des traces de peinture. Avec l’accord des Beaux-Arts et l’aide de quelques bénévoles, il put enlever la totalité de cet enduit qui dissimulaient les peintures murales depuis des siècles. Caractéristiques de l’art pictural roman Est-Pyrénéen, les peintures de l’église de Vals, datées de la fin du XIème siècle, sont attribuées à l’atelier du Maître de Pedret, auquel sont dues également les peintures de Saint-Lizier.

       

Avec une gamme de couleurs très réduite, rouge, noir, gris, jaune et blanc, mais un graphisme puissant, des personnages hiératiques inspirés de l’art byzantin fixent le visiteur de leur regard sévère. Le personnage central du Christ en majesté est entouré des symboles ailés des quatre évangélistes, disposés selon l’ordre classique, qui représentent les quatre étapes majeures du parcours christique: l’incarnation (l’homme), la Passion (le boeuf plutôt que le taureau qui rappellerait le culte de Mithra), la Résurrection (le lion) et l’Ascension (l’aigle).        Les principaux saints, Pierre, André, Michel se reconnaissent à leurs attributs traditionnels; leurs noms, en belle écriture romane, disparaissent peu à peu. La scène du Bain de l’Enfant, très caractéristique de l’art byzantin, est remarquable à plus d’un titre, que ce soit la position alanguie de Marie qui se repose de son accouchement sous une couverture richement décorée d’ocelles, ou les sages-femmes donnant le bain, un broc à la main, ou encore Jésus représenté comme un adulte en miniature au regard sévère, baigné dans un récipient évoquant par sa forme un calice.

       

La vaste nef à laquelle on accède par un double escalier, révèle une très belle ouverture en arc outrepassé qui nous invite déjà à accéder à la chapelle supérieure, dédiée à Saint-Michel selon une très ancienne traditionnelle tradition chrétienne qui confiait à ce saint la protection des églises mariales.        Le temps d’admirer la ravissante petite abside en cul-de-four, une frise à billettes, et l’on accède à la terrasse d’où la vue sur les Pyrénées, par delà les méandres de l’Hers, coupe le souffle.

        De cette terrasse, on peut voir les traces anciennes qui restent la marque du site de Vals: la base d’un temple gaulois, le Rahus qui doit encore receler bien des vestiges du passé, les anfractuosités du rocher où s’appuyaient les cabanes carolingiennes, mais aussi l’actuel village de Vals! »

       

Renseignements divers :

– Église à 2 orientations différentes (la chapelle supérieure est déviée par rapport à l’église inférieure)

– Église : de l’extérieur (près des fouilles), on voit qu’il y a eu une surélévation (génoise au milieu du mur)

– Auparavant : accès par les fonds baptismaux

– Partie de la Tribune de la Chapelle supérieure : était la chapelle seigneuriale et n’ouvrait pas sur l’intérieur => il y avait deux lieux de culte : la chapelle seigneuriale (avec une maison forte attenant) et l’église paroissiale

– Structure reprise au 11ème, puis au 14éme, puis au 19éme par le marquis de Portes ; puis l’abbé Durand décape en 1954 et découvre les peintures qui dateraient, selon Martine Rouche, d’avant 1109

– Dans l’église basse, la marquise de Portes, en 1887, fait poser 2 vitraux représentant saint Loup et saint Georges pour « y faire briller ses armes : 3 merlettes et une tour au dessous d’une couronne de marquis et au dessus de la devise en occitan : « Per pla aïré » »

– Les fresques de Vals présentent de nombreuses affinités avec celles de la Catalogne espagnole. (fin du XIème )

La dalle funéraire de la nef inférieure : « Dame Germaine de Cases, comtesse de Lascaris-Vintimille. Décédée le 5 septembre 1760 »

Une seconde dalle funéraire se voit aussi dans la « crypte ». C’est celle de Françoise de Serres, épouse de Jean de Cases, qui fut conseiller au Présidial de Pamiers. Françoise de Serres est la mère de la comtesse de Lascaris-Vintimille

La croix celtique : croix discoïdale en grès. A été déplacée après une tentative de vol

« On trouve cette figure sur des galets peints du Mas d’Azil. A l’âge de bronze, elle est un symbole de la religion du soleil. On la voit présentée sur des poteries mycéniennes. Pendant la période celtique, elle continue de figurer sur des vases ; et c’est dans les pays les plus marqués par cette civilisation des Celtes (la Bretagne et l’Irlande), qu’après s’être adjugé un plus authentique droit de cité, elle a assuré davantage sa pérennité. On trouve un modèle voisin de cette croix en Pays Basque, pays aussi de très vieille civilisation. Dans le Sud-Ouest de la France, la croix celtique, sous de multiples variantes marque fréquemment de son signe extérieur surtout des églises romanes. Elle domine à Saint-Sernin de Toulouse, la porte Mièjeville. En Ariège, nous avons noté sa présence à St Jean de Verges, à Unac, à Axiat. A Montgauch, elle décore un bandeau intérieur, au dessous des fresques romanes.

D’autres fois, elle a servi de croix funéraire. On la fait alors rentrer dans la catégorie des croix dites des tombes discoïdales. Le seul cimetière de Montferrand (Aude), situé à proximité d’une basilique paléochrétienne, a conservé une dizaine de ces croix » (J.M. Durand)

– Près de l’église, en haut et à l’extérieur : collecteur d’eau

Bulletin monumental 1885

– Roc Taillat : Au même emplacement pouvait se situer une tour (Cassini en noterait 3)

 

– Sur la place se trouvait un ormeau dit de Sully de 12 mètres de périmètre et dont l’intérieur forme une chambre circulaire. Il s’écrase sur des voitures le 9 août 1964

–  Auprès de Vals, une énorme pierre, sur laquelle on l’on dit que les Druides faisaient leurs sacrifices

–  En arrivant à Vals : vaste habitation rectangulaire flanquée d’une échauguette et fortifiée de mâchicoulis … : c’est dans ce « château » que mourut, en 1760, la comtesse de Lascaris-Vintimille, dont la tombe à inscriptions gravées se voit dans la nef de l’église de Vals

–   La plupart des découvertes de l’abbé Durand (qui a travaillé avec l’abbé Bruel) se trouve au musée de la préhistoire de Saint Germain en Laye

–         Musée


Pour en savoir plus…

 

Les Bulletins des Amis de Vals (nombreux articles : toujours actualisés et diffusés)

« Histoire et patrimoine en Pays de Mirepoix » (1999).Office du tourisme de Mirepoix (P. 281 à 286)

« Vals, son église, son musée », Association des Amis de Vals, 1994

Durliat : « Les peintures murales d’Ariège », in Monuments Historiques, 1981

Durand (Abbé J) : « Vals à travers les âges », in Bulletin de la Société Préhistorique de l’Ariège, 1957

Durand Abbé J : « Le site archéologique de Vals », 1967

Durand Abbé J : « L’oppidum de Vals »

Durand Abbé J : « L’église rupestre carolingienne de Vals »

Durand J.L. : « Le temple gaulois de Vals », in BSA 1962-1963

Durand Abbé J : « Les fresques romanes de Vals, 12ème » in BSA 1960

Garland : « Les fresques de Vals : iconographie et pensée religieuse », in Amis de Vals, 1982

Leclerq X : « Aperçu des fouilles archéologiques de Vals », BSA 1973

Vézian J : « Carnets Ariégeois », in Annales pyrénéennes

Baylé J : « Les églises de Vals en Ariège » in BSA 1980

Yvonne Fabre-Rayaud : « Contes du pays de Vals », édité par les amis de Vals, 1999

Durliat M. : « L’église de Vals »; Congrès archéologique de France, 1973

Sur « L’acropole de Vals d’Ariège », par E.H. Guitard : Dépêche du 7/08/1957

« Un thème iconographique rare présent dans le décor peint de l’église de Vals en Ariège », G. Leclercq (Société des Etudes du Comminges, 2000)

Restauration de l’église de Vals (4 mars 1715): ADA, G 90 Folio 74

Restauration et dotation de l’église de Vals (14 avril 1719) : G 90, Fol. 123

Remboursement d’avances à M. Boy, chanoine, par le diocèse pour réparations à l’église (22 juillet 1785) : G 95 fol 227

Restauration de l’église au 13 septembre 1715 : G 90 f° 74

Inauguration de la salle Henri Breuil à Vals (18 mai 1964) : BSA 1964

Dossiers divers aux ADA : 2 O 1804 et 1805 (école, église, eau, …)


Armoiries (incertaines) : Taillé d’or sur argent

  (Réalisation: Y.A. Cros)

Terrier : 1678

Registres paroissiaux et État Civil: 1ére date : 1662


(Étude : J.J. Pétris,  Cl. Aliquot et Martine Rouche; participation d’Y.A. Cros)