Département de l’Ariège, Arrondissement de Saint-Girons ; Canton de Massat


Altitude : 559 / 1317 m

Longitude : 1° 18’ 56’’ E

Latitude : 42° 53’ 56’’ N

(Carte: Conseil Général de l’Ariège)

– Démographie

– Approches historiques

Patrimoine

Pour en savoir plus…


Surface 
: 2351 ha

Démographie :

1851 : 2565

1856 : 2516

1901 : 2172

1921 : 1875

1946 : 808

1968 : 334

1982 : 243

1982 : 243

Biert faisait partie de la commune de Massat jusqu’à la loi du 12 février 1851 qui institue la commune de Biert

 

Approches Historiques

A Biert se trouve un site préhistorique (la grotte sépulcrale de Ker) qui en fait un lieu très anciennement habité.

Appartenant à la vicomté de Couserans, la future commune a subi les différents épisodes de celle-ci avant d’être inclus dans le département de l’Ariège.

1781: Inondation qui détruit presque entièrement le village

Au cours du XIXème siècle, Biert s’est illustré dans ce que l’on appela la Guerre des Demoiselles

Au début du XXème siècle, 8 instituteurs  et 2 curés étaient installés dans la commune pour ses Hameaux : Lardécal, Rodes, Col de Boulogne, Fontelles

Une carrière d’ardoises a été exploitée au Col de Boulogne, ainsi que des fours à chaux. A Biert, se trouvaient des cloutiers renommés

1987: réouverture de l’école

La commune se trouve dans le périmètre du Parc Naturel Régional des Pyrénées Ariégeoises

 

Patrimoine :

La grotte sépulcrale de Ker

Église

                                              

Calvaire sculpté (après celui de Vic d’Oust) par l’abbé Daran (curé de Biert de 1918 à 1938)


Pour en savoir plus…

« A Biert, village d’Ariège, autrefois », Roger Toulze « Grabét », Ed. e-dite

« Soldats d’Ariège. Les Biertois dans la grande guerre », Guy Prince, T. 1, 2009; T.2, 2011

« Dictionnaire du parler biertois », (1700 pages en 3 volumes), 2011 (collectif sous la direction de Pierre Toulze)

« Nosto communo », bulletin communal comportant de nombreuses études sur l’histoire locales

Aux Archives départementales:

Plans divers et dossiers aux ADA : 2 O 324 à 330 (écoles, monument aux morts, eau, églises, monument aux morts, …)


Registre
paroissial le plus ancien : 1640 (à Massat jusqu’en 1794)


(Étude : J.J. Pétris)